Le miracle se poursuit : je peux de nouveau commenter (mot que je préfère à « laisser un commentaire ») alors pourquoi me priverais-je ?
Joli poème de Monique.
Court ? Et alors ? Si le silence qui suit l’interprétation d’une oeuvre de Mozart est encore « du Mozart », celui qui commence lorsque le dernier mot du poème s’achève pourrait bien être celui qui accompagne le vol infiniment plané de l’oiseau…
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Par : JPaul
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